NON !!!!

cool ^^

Nombre de messages : 415 Date d'inscription : 13/11/2005

Je t'ai pas montré attend : Le sujet : écriture d'invention sur un paragraphe d'une des nouvelles de Maupassant "la rempailleuse" deuxième paragraphe :

Citation :: C'était la fin du dîner d'ouverture de chasse chez le marquis de Bertrans. Onze chasseurs, huit jeunes femmes et le médecin du pays étaient assis autour de la grande table illuminée, couverte de fruits et de fleurs.

On vint à parler d'amour, et une grande discussion s'éleva, l'éternelle discussion, pour savoir si on pouvait aimer vraiment une fois ou plusieurs fois. On cita des exemples de gens n'ayant jamais eu qu'un amour sérieux ; on cita aussi d'autres exemples de gens ayant aimé souvent, avec violence. Les hommes, en général, prétendaient que la passion, comme les maladies, peut frapper plusieurs fois le même être, et le frapper à le tuer si quelque obstacle se dresse devant lui. Bien que cette manière de voir ne fût pas contestable, les femmes, dont l'opinion s'appuyait sur la poésie bien plus que sur l'observation, affirmaient que l'amour, l'amour vrai, le grand amour, ne pouvait tomber qu'une seule fois sur un mortel, qu'il était semblable à la foudre, cet amour, et qu'un coeur touché par lui demeurait ensuite tellement vidé, ravagé, incendié, qu'aucun autre sentiment puissant, même aucun rêve, n'y pouvait germer de nouveau.

Le marquis, ayant aimé beaucoup, combattait vivement cette croyance :

- Je vous dis, moi, qu'on peut aimer plusieurs fois avec toutes ses forces et toute son âme. Vous me citez des gens qui se sont tués par amour, comme preuve de l'impossibilité d'une seconde passion. Je vous répondrai que, s'ils n'avaient pas commis cette bêtise de se suicider, ce qui leur enlevait toute chance de rechute, ils se seraient guéris ; et ils auraient recommencé, et toujours, jusqu'à leur mort naturelle. Il en est des amoureux comme des ivrognes. Qui a bu boira - qui a aimé aimera. C'est une affaire de tempérament, cela.

On prit pour arbritre le docteur, vieux médecin parisien retiré aux champs, et on le pria de donner son avis.

Justement il n'en avait pas :

- Comme l'a dit le marquis, c'est une affaire de tempérament ; quant à moi, j'ai eu connaissance d'une passion qui dura cinquante-cinq ans sans un jour de répit, et qui ne se termina que par la mort.

Français

Après un bon et chaleureux repas chez le marquis de Bertrans, les 20 convives, assis devant une magnifique table savourèrent le dessert fruité en digérant le bon repas qu’ils venaient de manger.

Les sujets de discutions étaient aussi nombreux que les bouquets de fleurs qui ornaient la table. Le marquis, absorbé dans une description très réaliste de sa dernière chasse où il avait réussi à abattre un magnifique cerf, ne s’était pas aperçus que la plus jeune des convives s’était levée et regardais les invitée d’un regard implorant. Elle se balançait de gauche a droite, telle une personne hésitante devant une tache difficile a faire, ou une nouvelle dure à annoncer. Quand tout les invités se furent tus et tourné leurs regards vers elle, elle commença son annonce d’une voix tremblante.
_ « Mesdames, messieurs, je profite du fait que tous les amis soient présents et aient tous répondus présents à cette invitation pour vous annoncer mon mariage avec Jean De La Tour » .
Tous les portés furent très réjouis d’une nouvelle si gaie et les félicitation fusaient de toutes parts. Mais bientôt, l’élan qu’avais produit cette annonce s’était dissipé et on parlait a présent de mariage et de divorce.

Les femmes soutenaient la thèse que l’être humain ne pouvais pas connaître l’amour plus d’une fois dans la vie, comme si ce bonheur ne pouvais que se consumer qu’une seule fois.
_ « Vous ne pouvez vraiment vivre cela qu’une seule fois, toutes les petites aventures que les hommes, ou les femmes peuvent vivre, ne sont que des distractions, des amusements destinés à alimenter les fantasmes ou les envies du corps et de l’esprit. » argumenta la baronne Von Actarus
_ « Mais combien de veuves de guerres ne se sont pas remariées ? Combien de femmes, lasses de leurs maris décadents les ont quitté pour un homme plus jeune, plus beau et plus fort, avec lesquels elles ont vécues un amour total intégral ?. Cela suffirais à faire choir votre principe, vous voyez bien qu’on peut aimer plusieurs fois d’une amour sincère et total dans une vie ! » Répliqua un chasseur nommé Kessel
_ « Je suis tout a fait d’accord avec vous mon chez amis » reconnût un autre chasseur surnommé Badack l’habile, en raison de sa faculté exceptionnelle à attirer le gibier à lui, « Prenez des grands écrivains, des gens connus comme Balzac, comme Alexandre Dumas, ou Charles Baudelaire, qui dans leurs vie ont eut plus d’une seule conjointe, et ne vit-on pas nécessairement avec la personne que l’on aimes ? »
_ « Et que faites vous des mariages arrangés par les bourgeois entre eux pour ne pas que leurs filles épousent des simples villageois ?! Dans ce cas la, les épouses ou les époux ne sont pas forcément attirés par le sexe opposé, et leur simple attrait à la relation est le prestige ou l’or qu’ils peuvent en tirer. Et puis, vous citez des grands noms qui ont jouis de leur prestige pour attirer dans leurs filets des jeunes pucelles pour les distraire un certain temps, et puis s’en débarrasser ensuite !! Prenez Paul Verlaine, lui n’a eut qu’une seule femme, et il l’a aimé toute sa vie, il n’a pas eut d’autres amours bien qu’elle l’ait abandonné !! » Clama mademoiselle Imer.
_ « Mais vous même, pensez vous rester toute votre vie avec le même maris, et rester toute votre existence avec lui ? » Questionna Mr Flood.
_ « Mais nous parlons ici d’amour pur, j’aimerais mon maris, mais ce n’est pas pour cette raison que je n’aurais pas quelques amants plus jeunes, ou plus vieux. Mais je ne les aimerais pas ; assura-elle ; non je n’aimerais que mon maris. » Elle avait dit cela avec la ferveur d’une petite fille qui sait déjà tout ce qui va se passer dans sa vie, et qui aurait déjà fait un programme pour la fin de son existence.
L’assistance fut parcourue d’un sourire uniforme, et les convives rirent en silence, tandis que la jeune fille se rassit, un peu troublée de l’effet qu’avais produit sa nouvelle.

Un silence se fit entendre, tous méditaient sur les paroles de la jeune femme. Puis au bout d’un moment la baronne pris de nouveau a parole
_ « Et vous messieurs, vous qui étés un homme du monde, un homme remplis de connaissance, qu’en pensez vous ? »
Le médecin la regarda d’un air surpris, puis repris son air sérieux de toujours et répondit.
_ « Je ne sait que dire, j’ai vu tellement de choses différentes, en fait je ne crois pas que l’om puisse raisonner sur le fait d’aimer, et comme on dis bien justement : l’amour a ses raisons que la raison ignore ».

C'est une redac de FR que j'ai du faire pendat les vacances, mais ca c'est pas ceque j'ai rendus, parce que mon prof a pas voulu d'un texte tapé à l'ordi.....